Nous avons eu le plaisir de poser quelques questions à Sophie Braun, une talentueuse DJ et productrice de musique électronique Française basée à Paris, sur son parcours musical, ses projets à venir et l’impact de Groover sur sa carrière.
Grâce à Groover, j’ai eu la chance de partager ma musique à travers le monde entier, ce qui m’a permis d’atteindre un public beaucoup plus large.
Sophie Braun
Peux-tu présenter un peu ton histoire et ton projet musical ? Comment en es-tu arrivée à créer ton projet et à le prendre au sérieux ?
Mon arrière-grand-père était trompettiste et chef d’orchestre et j’ai commencé le piano à l’âge de 4 ans. J’ai toujours baignée dans une atmosphère multiculturelle et internationale ouverte à différentes formes de créations. Mais c’est en cherchant une formation d’ingénieur du son pour un proche en 2019 que je me suis inscrite à Berklee en composition de musique électronique. Depuis, mon projet musical a pris un tournant plus au sérieux.
Comment décrirais-tu ta musique ? Selon toi, quelles seraient les meilleures conditions pour découvrir ta musique ?
Ma grande curiosité musicale me pousse à explorer et composer dans des styles variés. Je produis sous différents pseudonymes : ‘phiƏ’ pour du Lo-fi apaisant, ‘Pianonymous’ pour du piano néo-classique mélodieux, et ‘Sophie Braun’ pour de la Tech House énergique.
Les meilleures conditions pour découvrir ma musique dépendent du style :
Être DJ me pousse à rester en lien avec le public et m’oblige à écouter beaucoup de musique, ce qui est une source d’inspiration constante pour moi.
- Pour le Lo-fi apaisant sous le pseudo ‘phiƏ’, je recommande de l’écouter tout en travaillant à son bureau ou en se relaxant à la maison.
- Pour le piano néo-classique mélodieux de ‘Pianonymous’, l’idéal est de se poser dans un endroit calme, comme une plage avec de très bons écouteurs.
- Pour la Tech House énergique de ‘Sophie Braun’, la meilleure expérience est sur une piste de danse ou en roulant en voiture pour une montée d’adrénaline.
Comment as-tu découvert Groover et qu’est-ce qui t’a convaincue d’utiliser la plateforme ? En quoi ça t’a aidée ?
J’ai découvert Groover en cherchant une plateforme pour pitcher mes titres auprès de playlists. Cela m’a énormément aidée en me permettant de faire de belles rencontres qui ont influencé positivement mon projet. Grâce à Groover, j’ai eu de nombreuses opportunités de jouer en live et j’ai ressenti la force de la communauté. Cela m’a aussi permis de sortir de ma solitude créative et de travailler en équipe avec d’autres talents partageant les mêmes motivations.
Quelles opportunités as-tu eu via Groover ?
Grâce à Groover, j’ai eu la chance de partager ma musique à travers le monde entier, ce qui m’a permis d’atteindre un public beaucoup plus large. J’ai également pu figurer sur de belles playlists, ce qui a significativement augmenté mes streams et renforcé ma présence en ligne. Ces opportunités ont vraiment fait une différence dans ma carrière musicale, m’aidant à obtenir plus de visibilité et à construire une base de fans solide.
Grâce à Groover Club, j’ai pu participer à des Open Mics où j’ai fait mon premier DJ set, et j’ai collaboré avec des artistes rencontré via le Circle comme Emma Blune, TK Vibes et Antlac. De plus, j’ai remporté un tremplin grâce à Groover Obsessions, ce qui m’a permis de jouer sur la main stage de l’Insula Festival en Juin 2024.
Quels sont tes projets à venir et autres news cools que tu souhaiterais partager avec nous ?
Mes projets à venir incluent la préparation d’un EP Tech House/Bass House prévu pour novembre 2024. Je prévois également de jouer ces nouveaux titres en live et de les intégrer dans mes DJ sets. Je suis impatiente de rejouer au Ministry of Sound et je suis en discussion pour des performances à Paris et à Berlin.
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Quels conseils donnerais-tu aux artistes qui démarrent un projet musical ?
Aux artistes qui démarrent un projet musical, je conseillerais de s’entourer dès le début de personnes partageant les mêmes ambitions. Créez et sortez des titres sans attendre, sans chercher la perfection. Il faut avoir confiance en soi et suivre sa vision artistique.
Un petit mot pour la fin ?
Ne rien lâcher. La persévérance est clé.
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